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10 faits surprenants sur l’histoire de l’automobile

Chez ALBI le Géant, on est passionné par l’automobile sous toutes ses formes. Bien sûr, on connait bien les modèles, mais on s’intéresse aussi aux faits historiques importants… ou moins importants.

Mais on a décidé de vous offrir notre savoir en vous proposant quelques faits historiques véridiques, mais dont la connaissance est parfois douteuse!!

1. L’essuie-glace a été inventé par une femme en 1903

Mary Anderson, une Américaine de l’Alabama, a déposé un brevet en 1903 pour un dispositif mécanique actionné de l’intérieur permettant de nettoyer le parebrise. Il a fallu attendre les années 1920 pour que son idée soit adoptée par les constructeurs automobiles. Auparavant, il fallait s’arrêter pour essuyer le parebrise à chaque chute de pluie ou de neige.

2. Le système antiblocage (ABS) a vu le jour dès les années 1920

À l’origine conçu pour les avions, le tout premier système de freinage antiblocage a été développé par la marque française Gabriel Voisin. Il a fallu attendre les années 1970 pour voir les premières versions électroniques sur les voitures, puis les années 1990 pour sa généralisation.

3. Le « tune-up » est un terme inventé par Henry Ford

À la fin du XIXe siècle, alors qu’il travaillait sur ses prototypes, Ford a remarqué que des bobines bien réglées produisaient un léger bourdonnement. Quand ce bruit disparaissait, il fallait ajuster le moteur. C’est de là qu’est née l’expression « tune-up », inspirée directement du monde de la musique.

4. Le tout premier véhicule électrique date de 1832

C’est l’Écossais Robert Anderson qui a conçu l’un des premiers prototypes de véhicule électrique à batterie non rechargeable. Bien rudimentaire, cette invention posait les bases d’une technologie qui allait revenir en force plus d’un siècle plus tard.

5. La première course automobile officielle a eu lieu en 1895

Cette course s’est tenue entre Paris et Bordeaux sur 1 178 km. Le véhicule gagnant roulait à une vitesse moyenne incroyable de…. 24 km/h (15 mi/h), soit bien en deçà de nos autoroutes modernes, mais un exploit à l’époque !

6. Les feux de freinage datent de 1905

Avant leur invention, les conducteurs utilisaient des signaux manuels. De nuit ou par mauvais temps, cela devenait vite dangereux. Les feux de freinage sont depuis devenus essentiels à la sécurité routière.

7. Le tout premier « road trip » a eu lieu en août 1888

Bertha Benz, l’épouse de Karl Benz, a parcouru 106 km entre Mannheim et Pforzheim avec ses deux fils pour démontrer la fiabilité du Motorwagen. Une véritable pionnière de la route ! Petit détail, il lui a fallu environ 7 heures pour franchir la distance!

8. Le régulateur de vitesse a été inventé par un homme aveugle

Ralph Teetor, ingénieur américain, a mis au point le premier prototype de régulateur en 1948. Il a breveté le « Speedostat » en 1950, inspiré par l’inconstance de son chauffeur.

9. Le volant a remplacé le levier en 1898

Jusqu’à la fin du XIXe siècle, les véhicules étaient dirigés à l’aide d’un levier. En 1898, Alexander Winton, un constructeur de l’Ohio, introduit le volant circulaire tel qu’on le connaît aujourd’hui.

10. Le premier autoradio a été installé en 1922 par Chevrolet

Chevrolet a introduit un système radio dans ses voitures cette année-là. L’idée a d’abord fait débat — certains craignaient une distraction au volant — mais elle est rapidement devenue un standard.

La bonne nouvelle, c’est que les voitures vendues chez ALBI le Géant ont tout cela, et encore plus.

La prochaine Mazda MX5 sera électrique

Mazda prépare activement l’avenir de son icône sportive, la MX-5. Mais oubliez les motorisations à essence, car le petit roadster deviendra électrique. Selon plusieurs médias, le constructeur japonais travaille déjà sur une version électrifiée de sa petite sportive, avec une arrivée prévue pour 2026.

Mazda a toujours traité la MX-5 comme bien plus qu’un simple modèle : c’est une vitrine de son savoir-faire en matière de conduite pure, de légèreté et d’agilité. L’électrification de ce modèle représente donc un défi de taille. Le constructeur cherche à conserver l’ADN du véhicule, en dépit des contraintes liées au poids des batteries et à la complexité des groupes motopropulseurs électriques. C’est la base de la philosophie Jinba Ittai, ou quand le cavalier ne fait qu’un avec sa monture. C’est ce qui a toujours été le principe de la MX-5.

Plutôt que de céder à une solution tout électrique conventionnelle, Mazda explore des voies originales. L’une des possibilités envisagées est l’intégration d’un moteur rotatif servant de générateur dans un système hybride. Cette approche permettrait de conserver un gabarit léger, tout en respectant les nouvelles normes environnementales. On a déjà tenté cette approche en Europe avec la MX-30, avec un certain succès. Reste à voir si cela peut venir au Canada.

Design futuriste

Esthétiquement, la future MX-5 pourrait s’inspirer des récents concepts Vision Study Model et Iconic SP. Ces prototypes arborent des lignes dynamiques et modernes, tout en évoquant le design simple et élégant qui a toujours caractérisé la MX-5. Ils témoignent aussi de l’intention de Mazda de proposer un véhicule qui reste plaisant à conduire, même dans un futur électrifié.

L’évolution de la MX-5 reflète la transition en douceur que Mazda souhaite opérer vers l’électrification. Plutôt que de rompre avec le passé, le constructeur tente de faire évoluer son modèle fétiche sans en trahir l’esprit. Si Mazda réussit ce pari, la prochaine MX-5 pourrait bien devenir une nouvelle référence du plaisir de conduire, version électrique. Et soyez assuré qu’elle fera une entrée fracassante chez ALBI Mazda.

Une nouvelle camionnette Mazda à l’horizon?

Mazda, reconnue pour ses véhicules au design raffiné et au comportement routier dynamique, pourrait bien nous surprendre avec une nouveauté qui sort des sentiers battus : une camionnette, ce qui marquerait un retour dans ce créneau pour le constructeur japonais.

Lors d’une récente entrevue avec un média australien, Masahiro Moro, président et chef de la direction de Mazda, a laissé entendre que la marque pourrait éventuellement lancer une nouvelle camionnette conçue spécifiquement pour l’Amérique du Nord. Et même s’il n’a pas confirmé de modèle en développement, le simple fait d’en parler publiquement a suffi à allumer la curiosité des amateurs, et celle des spécialistes d’ALBI Mazda Mascouche.

Demande croissante pour des camionnettes intermédiaires

Il faut dire que le créneau des camionnettes intermédiaires connait un bel essor. Le Ford Maverick, le Hyundai Santa Cruz et le Toyota Tacoma sont autant de preuves que les consommateurs veulent des camions pratiques, moins gourmands et faciles à vivre au quotidien.

Ce n’est pas la première fois que Mazda flirte avec le monde des camions. On se souvient du défunt B-Series, une camionnette compacte qui partageait ses bases avec le Ford Ranger à l’époque. Mais cette fois, on parle d’un modèle entièrement repensé, possiblement développé en interne, et qui viserait le cœur du marché nord-américain.

Alors, à quoi pourrait ressembler cette camionnette Mazda? Rien d’officiel n’a filtré, mais on imagine facilement une silhouette inspirée du design Kodo, un habitacle soigné comme seul Mazda sait le faire, et peut-être une motorisation hybride ou électrifiée pour séduire les conducteurs d’aujourd’hui.

Chez ALBI Mazda, on accueille cette idée avec enthousiasme. Un tel modèle viendrait élargir l’offre Mazda tout en s’insérant parfaitement dans les habitudes de conduite des Canadiens, surtout ceux qui recherchent un véhicule polyvalent, élégant et efficace.

Bref, même si aucun plan concret n’a encore été dévoilé, cette déclaration du grand patron de Mazda laisse entrevoir de belles possibilités. Et qui sait? La prochaine fois que vous viendrez voir nos VUS et nos berlines chez ALBI Mazda Mascouche, vous pourriez bien repartir au volant d’une camionnette signée Mazda.

Conduite à une pédale, comment ça marche?

Si vous avez déjà pris le volant d’une voiture électrique, vous avez peut-être été surpris par une sensation inédite : celle de ralentir, voire de s’arrêter, sans toucher à la pédale de frein. C’est ce qu’on appelle la conduite à une pédale — ou one-pedal driving pour les intimes — une petite révolution dans le monde de l’automobile qui change notre façon de conduire, tout en ajoutant une bonne dose d’efficacité.

Mais comment ça fonctionne, exactement? La conduite à une pédale repose sur le principe de la régénération d’énergie. Lorsqu’on relâche l’accélérateur, le moteur électrique passe en mode « générateur » : il utilise l’énergie cinétique du véhicule pour produire de l’électricité, qui est ensuite renvoyée vers la batterie. Ce processus, appelé freinage régénératif, ralentit naturellement le véhicule, parfois assez fortement pour s’arrêter complètement sans avoir à toucher aux freins.

Les voitures qui intègrent cette technologie

Sur certaines voitures électriques comme la Nissan LEAF ou la Chevrolet Equinox, cette fonction est assez prononcée pour permettre une conduite presque exclusive à la pédale d’accélérateur. En ville, où les arrêts fréquents sont monnaie courante, cela devient vite une habitude. En plus, ça ménage les freins : moins d’usures, moins d’entretien! Mieux encore, selon une étude, on pourrait récupérer jusqu’à 5% de l’énergie dépensée sans aucun effort.

Évidemment, il faut un petit temps d’adaptation. La première fois, on a l’impression que la voiture freine toute seule. Mais une fois que l’on comprend le principe, on ajuste son pied avec plus de finesse. Résultat : une conduite plus souple, plus prévisible, et souvent plus agréable. Et pour les plus enthousiastes, cela facilite aussi la conduite dynamique!

Certains modèles permettent même d’ajuster l’intensité de la régénération, grâce à des palettes au volant ou des modes de conduite spécifiques. C’est notamment le cas des Hyundai Ioniq5 et Ioniq6. On peut donc choisir entre une sensation de conduite plus traditionnelle ou une régénération plus agressive selon ses préférences… ou l’état de la batterie!

D’autres n’ont qu’un seul niveau de régénération, mais dans tous les cas, on peut désactiver ce mode de conduite d’un simple bouton.

Au-delà de l’aspect technologique, la conduite à une pédale est un vrai plus au quotidien. Elle facilite les ralentissements, réduit la fatigue en conduite urbaine, et optimise la récupération d’énergie.

Petit détail cependant, puisque le freinage à une pédale n’a rien de mécanique, il est bon d’utiliser sa pédale de frein à l’occasion, histoire de s’assurer que tout est toujours fonctionnel.

Alors, si vous envisagez de passer à l’électrique, n’hésitez pas à essayer cette fameuse pédale unique lors de votre prochain essai routier d’un véhicule électrique chez ALBI le Géant. Vous ne pourrez plus vous en passer!

Hyundai dévoile un nouveau moteur hybride

Hyundai vient de lever le voile sur une innovation qui risque de faire tourner bien des têtes dans le monde de l’automobile : un tout nouveau système hybride à deux moteurs, promettant une amélioration notable de l’efficacité électrique. Une avancée technologique qui s’inscrit parfaitement dans la stratégie du constructeur coréen visant à doubler sa gamme de véhicules hybrides d’ici 2030.

Ce nouveau système, baptisé TMED-II, repose sur une transmission intégrant deux moteurs électriques. Le premier s’occupe du démarrage, de la gestion de la batterie et de la distribution de l’énergie pour assister le groupe motopropulseur. Le second est dédié à la propulsion et au freinage régénératif.

Grâce à cette architecture innovatrice, Hyundai annonce une amélioration de 45 % de l’efficacité énergétique par rapport à la génération précédente de son système hybride. Une performance qui se traduit par une réduction significative de la consommation de carburant et des émissions de CO₂, sans compromettre la puissance ni le plaisir de conduire.

Une stratégie électrifiée

Face à un ralentissement de la demande pour les véhicules entièrement électriques, Hyundai mise sur les hybrides pour répondre aux préoccupations des consommateurs concernant l’autonomie et l’infrastructure de recharge. Le constructeur prévoit d’élargir sa gamme hybride à 14 modèles d’ici 2030, incluant des versions hybrides pour sa marque de luxe Genesis.

Évidemment, cette nouvelle technologie ne s’applique encore sur aucun modèle de Hyundai, ou de ses marques sœurs comme Kia et Genesis. Il faudra attendre encore quelques années avant d’avoir une gamme plus complète de motorisations de cette nature.

Hyundai est quand même un des constructeurs qui domine le monde des véhicules électriques avec des versions 100% électrifiées comme la Kona EV, l’IONIQ 5 et l’IONIQ 6. L’IONIQ 9, le grand VUS familial électrique, sera pour sa part disponible dans quelques semaines chez votre concessionnaire ALBI Hyundai.

Précisons que de nombreux modèles hybrides sont déjà offerts, comme le Santa Fe, l’Elantra et le futur Palisade. Le Hyundai Tucson propose encore plus de versions avec une déclinaison hybride et une autre hybride branchable.

Kia EV4 et K4 Hatchback 2026 : deux arrivées attendues

Kia a profité du Salon de l’auto de New York 2024 pour dévoiler deux modèles qui feront tourner bien des têtes à leur arrivée chez ALBI Kia dans les prochains mois : la berline électrique EV4 et la toute nouvelle K4 à hayon. Deux voitures, deux personnalités différentes, mais un même objectif : offrir plus d’options aux conducteurs canadiens à la recherche d’un véhicule stylé, pratique et intelligent.

Kia EV4

Attendue au début de 2026 au Canada, la Kia EV4 s’inscrit dans la stratégie d’électrification ambitieuse du constructeur. Cette berline compacte 100 % électrique est conçue pour séduire les conducteurs qui veulent passer à l’électrique sans faire de compromis sur le look ou la technologie.

Côté style, elle se distingue par une silhouette originale, inspirée du design « Opposites United » cher à Kia qui sert aussi de base à la K4. Les lignes sont nettes, dynamiques, avec une face avant aux phares verticaux imposants. À l’intérieur, on découvre un habitacle bien pensé, avec deux écrans de 12,3 pouces et des commandes épurées.

Bien que les spécifications canadiennes ne soient pas encore confirmées, on s’attend à ce que l’EV4 offre une autonomie concurrentielle — probablement autour de 400 à 500 km — et une version à deux roues motrices au lancement, avec une intégrale à suivre.

Kia K4 Hatchback

Du côté des amateurs de voitures compactes pratiques et amusantes à conduire, la K4 à hayon 2026 promet de combler les attentes. Kia l’a officiellement confirmée pour le marché canadien dès la fin de 2024, rejoignant ainsi la version berline déjà disponible chez nous.

Plus courte que la berline, mais tout aussi spacieuse, la K4 hatchback se distingue par sa lunette arrière très inclinée et ses lignes étirées. Elle offre aussi un hayon bien pratique pour charger sacs de sport, valises ou épicerie. Elle sera offerte avec deux motorisations : un 4 cylindres de 2,0 L et un moteur turbo 1,6 L pour ceux qui recherchent un peu plus de punch.

Avec ces deux modèles, Kia continue de démontrer sa capacité à innover tout en restant accessible. Que vous soyez tenté par l’électrique avec l’EV4 ou séduit par la polyvalence d’une compacte à hayon comme la K4, votre prochaine Kia pourrait bien arriver chez ALBI Kia plus tôt que vous le pensez.

Genesis X Gran Equator Concept, une vision à faire rêver

Et si le luxe prenait une nouvelle direction? C’est exactement ce que propose Genesis avec son tout dernier concept : le X Gran Equator, présenté en grande première au Salon de l’auto de New York 2024. Ce n’est pas une voiture de production — du moins, pas encore — mais un manifeste de style qui pourrait bien influencer les futurs modèles de la marque qui feront leur entrée chez Genesis Laval au cours des prochaines années.

Coupé GT électrique à quatre portes

Le X Gran Equator est tout sauf conventionnel. Genesis l’a imaginé comme un coupé GT quatre portes 100 % électriques, mariant l’élégance d’une berline de luxe à la silhouette audacieuse d’une familiale ou d’un VUS de format imposant. C’est, il faut l’avouer, un pari risqué puisque ce genre de modèle est plus populaire en Europe qu’au Canada.

Son profil sculptural qui rappelle une œuvre d’art et ses proportions équilibrées lui confèrent une allure unique. Le capot long, les porte-à-faux courts et la ligne de toit réent une présence sur route qu’on remarque facilement. Ajoutez à cela une signature lumineuse distinctive à l’avant comme à l’arrière, et vous obtenez un véhicule futuriste, mais marqué au sceau de Genesis.

À l’intérieur, le X Gran Equator Concept se veut un sanctuaire. Genesis parle d’un espace où le conducteur est au centre de l’expérience, avec un habitacle axé sur l’harmonie et la technologie intuitive. Les matériaux sont nobles, les lignes épurées, et l’ambiance, résolument zen.

On retrouve notamment un écran incurvé intégré dans une planche de bord minimaliste, ainsi qu’un volant à deux branches qui évoque le monde de l’aviation.

Le X Gran Equator Concept n’est pas destiné à la production… du moins pour l’instant. Mais il en dit long sur les intentions de Genesis. Le constructeur vise clairement à redéfinir les codes du luxe électrique, avec une signature visuelle forte et une approche qui mise autant sur l’émotion que sur la performance, un peu comme il l’a fait depuis quelques années avec ses nombreux prototypes éclatés.

Et vous, aimeriez-vous voir ce genre de design sur la route dans les prochaines années? Nous, on l’avoue, on aimerait bien vous l’offrir chez Genesis Laval.

Kia EV3 2025, grande championne mondiale

Imaginez, la petite Kia EV3, une citadine 100% électrique qui n’est pas encore offerte chez ALBI Kia, vient pourtant de remporter le titre de voiture mondiale de l’année présentée dans le cadre du Salon de l’auto de NY.

Design futuriste

Inspirée du grand frère EV9, la Kia EV3 adopte des lignes futuristes et une silhouette robuste. Avec ses 4,3 mètres de long, elle offre un espace intérieur généreux pour cinq passagers. L’habitacle, moderne et épuré, intègre une dalle numérique de 30 pouces regroupant les instruments et le système d’infodivertissement, offrant une expérience utilisateur intuitive et connectée.

Autonomie impressionnante

Sous le capot, le EV3 propose deux configurations de batterie : 58,3 kWh pour une autonomie estimée à 380 km selon les normes nord-américaines et 81,4 kWh offrant jusqu’à 530 km d’autonomie.

Le moteur électrique de 201 chevaux permet une accélération de 0 à 100 km/h en 7,5 secondes. De plus, la recharge rapide en courant continu permet de passer de 10 à 80 % en environ 31 minutes, facilitant les longs trajets. Kia vise à rendre le EV3 abordable pour un large public.

À l’instar de sa carrosserie, l’habitacle du EV3 est presque calqué sur celui du EV9, sauf que le volant provient plutôt du EV6. On retrouve même tableau de bord que dans le EV9, laquelle est composée de deux écrans de 12,3 pouces reliés par une tablette de 5 pouces au centre. Le EV3 innove par l’adoption d’une tablette coulissante intégrée à l’accoudoir central, qui peut servir de table pour ordinateur ou tablette lorsque le véhicule est à l’arrêt.

Disponibilité au Canada

Le lancement du Kia EV3 est prévu en Corée du Sud en juillet 2025, suivi de l’Europe à l’automne. Pour le marché canadien, l’arrivée chez ALBI Kia est prévue au cours de la première moitié de l’année. Mais en attendant, on peut toujours se dire qu’on aura droit nous aussi à la Voiture mondiale de l’année.

Genesis GMR 001, quand le luxe devient course

Genesis qui se lance dans les 24 Heures du Mans? Ce n’est pas une blague ni un simple coup de marketing. Vous vous rappelez qu’on a vous parlé de la venue prochaine de versions de performance Genesis Magna éventuellement chez Genesis Laval? Cette fois, Genesis pousse la performance encore plus loin en présentant, en marge du Salon de l’auto de New York, son toute premier hypercar de course.

La GMR 001 – c’est le nom de la voiture de course – n’a rien d’un exercice de style. Ce prototype a été conçu dans le but de participer à la catégorie Hypercar (LMH) du Championnat du monde d’endurance (WEC), ce qui inclut bien sûr l’épreuve mythique des 24 Heures du Mans.

Peu de détails techniques ont été révélés pour l’instant, mais Genesis parle déjà d’un groupe motopropulseur hybride, d’un système de propulsion à quatre roues motrices et d’une aérodynamique soignée pour optimiser les performances sur piste. En termes de look, on le voit fidèle à l’ADN Genesis, mais poussé à son extrême. Les fameuses doubles lignes lumineuses sont là, incontournables comme dans tous les modèles Genesis.

Genesis ne saute pas seule dans l’arène. Le projet est mené par Genesis Motorsport, une nouvelle division dédiée à la compétition, et fait appel à Adrien Newey, célèbre ingénieur de Formule 1, en tant que conseiller. Ça en dit long sur les ambitions du constructeur.

L’objectif est clair : faire de Genesis un acteur crédible dans le monde du sport automobile, sans renier son identité haut de gamme.

Quel impact pour les modèles Genesis?

Est-ce qu’on verra bientôt des technologies issues de la GMR 001 sur les berlines ou VUS Genesis? Peut-être pas immédiatement, mais la course est souvent un laboratoire d’innovation. Systèmes hybrides perfectionnés, gestion thermique, matériaux ultralégers… autant de pistes qui pourraient influencer les modèles à venir.

Et vous, auriez-vous imaginé Genesis sur une grille de départ au Mans? Une chose est sure : la marque ne veut plus seulement être perçue comme une alternative luxueuse. Elle veut inspirer, repousser les limites… et maintenant, gagner. Évidemment, on suivra avec attention les résultats de Genesis en course chez Genesis Laval. Mais on continuera à préférer la conduite des grands véhicules de luxe que la marque propose déjà!

Place aux camionnettes électriques

Les véhicules électriques sont en hausse constante. Leur nombre grandit sur nos routes, et les modèles offerts, notamment dans les concessions ALBI le Géant, se multiplient rapidement. Il est cependant une catégorie où les offres sont encore inexistantes en matière d’électrification, c’est celle des camionnettes pick up intermédiaires.

On ne parle pas ici des camions pleine grandeur comme le Chevrolet Silverado EV ou le GMC Sierra EV. Non, il est plutôt question de véhicules de plus petites dimensions, capables de répondre aux besoins des conducteurs devant occasionnellement transporter du matériel.

Deux constructeurs, Nissan et Kia, ont confirmé leur intention de produire, au cours des prochaines années, des camionnettes intermédiaires électriques.

Du côté de Nissan, l’intention n’est pas nouvelle puisqu’on avait présenté, en 2021, le concept Surf out, une camionnette moderne et contemporaine. Cette camionnette ne serait qu’un des nombreux nouveaux véhicules qui utilisera la plateforme électrique de la compagnie et qui sera développé pour des véhicules de taille compacte.

Au tour de Kia

Si la camionnette de Nissan fait partie des rumeurs, celle prévue par Kia est bel et bien réelle. Du moins, elle le sera d’ici quelques années, car les dirigeants de la compagnie ont confirmé à leurs investisseurs qu’une camionnette compacte et électrique serait développée pour le marché nord-américain.

Même si on ignore évidemment les caractéristiques techniques de ce nouveau véhicule, on sait qu’il sera conçu et assemblé en Amérique du Nord, et qu’il ne s’agira pas d’un dérivé de la camionnette Tasman déjà offerte en Australie et dans certains pays d’Europe.

Selon les quelques informations disponibles, ce sera plutôt un modèle à part entière construit sur une nouvelle plateforme de véhicule électrique. Kia le dit destiné à un usage « urbain et récréatif » à la fois, bref un produit moins axé sur le travail et plus sur les loisirs et le plein air.

Aucune date n’a été fixée officiellement pour le lancement de ces deux camionnettes, mais on estime qu’elles pourraient arriver chez ALBI le Géant quelque part après 2027. Soyez patients!