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Nissan Titan, prêt pour l’aventure printanière

Chez Nissan, les camions, c’est du sérieux. Les derniers mois ont été consacrés à la remise à neuf de la quasi totalité des camionnettes de tout format, incluant les utilitaires sport. Mais la vedette, c’est encore, et toujours le grand Nissan Titan, celui qui s’avère un compagnon idéal pour les amateurs de plein air et d’aventures. Lire la suite

Pourquoi il ne faut jamais conduire avec le réservoir vide

On a tous une petite tendance à la paresse. Ce qui explique que parfois, bien que l’on voit descendre rapidement la petite aiguille de notre réservoir à essence, on a tendance à attendre à la dernière seconde avant d’aller faire le plein. Il y a pourtant de bonnes raisons pour éviter un tel comportement.

Ainsi, quand la petite lumière jaune s’allume signalant le manque imminent de carburant, sachez qu’il vous reste environ 10% de l’autonomie réelle de votre véhicule. Si avec votre voiture vous parcourez normalement 500 kilomètres sur un plein, il devrait théoriquement vous rester quelque chose comme 50 kilomètres d’autonomie.

Vous devriez cependant vous dépêcher de vous rendre le plus rapidement possible à une station-service, histoire d’éviter de plus lourds problèmes.

Bien sûr, se promener le long de la route avec un bidon d’essence fait partie de ces problèmes. Après tout, il est difficile d’évaluer réellement l’autonomie restante, et la panne sèche vous guette, c’est évident.

Mais il y a aussi des raisons plus mécaniques pour éviter de telles situations. Ainsi, pour se déplacer dans les conduits, l’essence fait appel à une pompe qui l’aide à circuler. Il est indispensable que cette pompe soit constamment lubrifiée par la présence d’essence. Si jamais elle s’asséchait, elle pourrait provoquer une panne et exiger une réparation plus coûteuse qu’un simple plein de carburant!

Autre détail : votre réservoir de carburant est un peu comme un aquarium que l’on ne rince jamais. Il se dépose au fond quelques résidus, normaux, qui s’accumulent au fil des usages. En laissant vider totalement votre réservoir, vous courrez le risque de voir ces résidus se glisser dans le filtre à essence en grande quantité, ce qui peut aussi entraîner des bris ou des mauvais fonctionnements.

Alors, ne prenez pas de chance. Quand vous voyez la lumière jaune illuminer votre tableau de bord, arrêtez-vous pour mettre de l’essence. Vous devrez le faire tôt ou tard, de toute façon!

Regardez la Ford GT, elle flotte!

La Ford GT est la super voiture que le constructeur américain a décidé de ranimer, après une absence de quelques années. Celle dont la silhouette a fait tourner toutes les têtes depuis son dévoilement sera bientôt sur nos routes. Mais avant de la voir arriver, il fallait procéder aux tests les plus exigeants.

C’est exactement ce que les ingénieurs de Ford ont réussi à faire en lançant, littéralement, la super voiture à l’assaut d’une vaste étendue d’eau.
Fous, les ingénieurs? Un peu, peut-être, surtout quand vient le temps de s’élancer au volant d’une voiture de plus de 600 chevaux, et d’une valeur de près d’un demi-million de dollars, directement dans plusieurs centimètres d’eau.

L’épreuve en valait cependant la peine, puisqu’il fallait bien tester les qualités de la voiture dans les zones fortement inondées et vérifier sa capacité à résister à l’aquaplanage. Rassurez-vous, la voiture a offert une performance plus étonnante encore que ne l’avaient prévu les ingénieurs.

Ainsi, malgré l’intense résistance hydraulique, la Ford GT a maintenu le cap sans jamais dévier de sa route, et n’a offert aucune forme d’aquaplanage.
Les plus observateurs regarderont d’ailleurs la vidéo des tests et apercevront l’eau qui s’écoule le long de la carrosserie, y compris le en marge des diffuseurs arrière, pour permettre à la super voiture de se maintenir à flot.

Il n’arrivera probablement jamais que l’un des 450 propriétaires de la nouvelle Ford GT (car elle est disponible uniquement en nombre aussi limité) ne se lance dans des flots aussi imposants. Mais avouez qu’il est rassurant de savoir que la voiture est capable d’y résister… et amusant d’y assister!

Top 5 des voitures créées par un designer de mode

Vous aimez la mode, comme bien des gens. Même si parfois, il faut bien avouer que le résultat des robes haute couture n’est pas nécessairement ce que tout le monde porterait sur la rue.

Imaginez que cette imagination débridée et débordante a aussi, au fil des ans, trouvé son chemin vers le monde de l’automobile.

En faisant une petite exploration, nous avons donc choisi pour vous quelques-unes des voitures retouchées par un designer de mode et qui, à notre avis, sont parmi les plus réussies.

Fiat 500 Gucci
La petite italienne ne demandait que ce genre de traitement. Déjà fortement stylée, elle est cependant beaucoup moins exclusive que les robes de ce designer puisque la Gucci ne nécessitait que quelques dollars de plus pour une peinture exclusive, et un intérieur unique.

Chrysler 300 John Varvatos
John Varvatos est le designer de la classe et de la sobriété. Roues en titane, intérieur tout cuir, la 300C est le reflet quasi identique des vestes du créateur.

Lincoln Continental Designer
Il faut un peu de mémoire pour se souvenir de ces versions spectaculaires, mais en 1979, Givenchy, Cartier, Pucci et Bill Blass se sont associés à la marque Lincoln pour créer une gamme de Continental capable de rivaliser avec les voitures de luxe européennes.

Jaguar XE Stella McCartney
Elle n’est pas vendue chez nous, mais son style et son audace méritent qu’on la salue : la Jaguar XE Stella McCartney, conçue pour le salon de l’auto de Paris en 2014, reprend exactement les motifs de la collection de la designer de la même année.

Hyundai Equus Hermès

Lancée avant la venue de la marque Genesis, qui réunit désormais les voitures de luxe de Hyundai, la Equus était une véritable limousine abordable. On a voulu cependant lui donner un petit statut de superstar en demandant à la maison française Hermès d’y ajouter quelques détails supplémentaires pour une version unique. Outre les éléments de finition spectaculaires, précisons que la Hyundai Equus Hermès était offerte avec une vingtaine d’accessoires fait main de la maison de design.

Nissan Blade Glidder, la prochaine génération électrique?

On avait vu le prototype au salon de Tokyo il y a quelques années, mais jamais comme une voiture fonctionnelle, plutôt comme un prototype aux performances aléatoires. Cette fois, il semble que la compagnie aurait finalement décidé de produire un super véhicule électrique… mais qui ne sera pas pour la commercialisation. Du moins, pas pour le moment.

Le Blade Glidder a fait plusieurs apparitions dans le passé, notamment aux Jeux Olympiques de Rio. Mais jamais il n’avait été aussi près d’être une véritable voiture. Tellement près en fait que le petit véhicule a servi pour une randonnée nocturne de l’ambassadrice de Nissan, Margot Robbie. Pas n’importe quelle randonnée non plus puisque c’est sur le circuit de Monaco que s’est déroulé l’essai de la voiture, quelques semaines à peine avant le dévoilement de la dernière génération prévue au salon de l’auto de Genève.

Le Blade Glidder n’a rien de la voiture ordinaire. Conçu comme une aile d’avion, le véhicule est destiné à se déplacer à grande vitesse en mode 100% électrique. Le triplace sport (car oui, il peut accueillir trois passagers dans une configuration triangulaire) fait appel à une puissante batterie de 220 kWh (une Leaf 24 ou 30 kWh) qui alimente une paire de moteurs électriques – un par roue arrière – pour un total de 200 kW ou 268 chevaux. Plus que la puissance, le couple détonne avec 521 lb-pi délivré instantanément. Il réalise ainsi le 0-100 km à l’heure en 5 secondes environ.

Ne le cherchez cependant pas chez votre concessionnaire Albi. Le Blade Glidder est surtout destiné à rappeler l’importance que Nissan accorde aux véhicules entièrement électriques. Et, les spécialistes l’espèrent, bien que le design soit radical et n’ait aucun lien avec la prochaine Nissan Leaf, on espère bien que la motorisation, elle, pourrait être une indication de ce que la prochaine Leaf EV pourrait être.

https://www.youtube.com/watch?v=AdGHwotnQGc&feature=youtu.be

Enfin, on la verra la Honda Civic Type R

Elle a attiré les regards, et fait baver d’envie les mordus de voitures de performance. La Honda Civic Type R, qui a fait le tour des grands salons au cours des derniers mois en version prototype, fera enfin officiellement son apparition dans sa version de production lors du salon de l’auto de Genève qui se tient à la mi-mars.

Si vous avez aperçu le prototype cependant, vous ne devriez pas être surpris. Les dirigeants de Honda ont, depuis le début, mentionné que le concept n’était qu’à deux doigts de la véritable version de production. Concrètement, cela signifie que l’on devrait retenir les aspects plus anguleux et aérodynamiques de la voiture, en plus de l’aileron surdimensionné et de la calandre agressive.

La gigantesque prise d’air sur le capot, et les roues profilées avec des pneus aux dimensions sportives devraient tous retrouver leur chemin jusqu’à la version de commercialisation, tout comme les blocs optiques en forme de C qui sont déjà l’apanage de la Honda Civic de série.

L’habitacle constituera cependant une surprise plus grande, puisque les différentes versions présentées à ce jour offraient des détails peu précis.

Sous le capot, le moteur 2,0 litres turbo de plus récente génération propulsera le petit véhicule dynamique. Même si les données techniques ne sont pas encore connues et confirmées, on estime que la puissance sera de 300 chevaux, à quelques unités près. Elle sera alors la Honda Civic la plus puissante jamais commercialisée.

La Honda Civic Type R sera assemblée dans une usine dédiée en Angleterre dès cet été, pour être expédiée d’abord aux Japon, en Europe puis en Amérique du nord. On ignore cependant la date précise de son arrivée sur les routes canadiennes.

Alors, en attendant le dévoilement officiel de cette petite fusée nippone, rincez-vous l’oeil sur le prototype!

Jeep TrackHawk et Dodge Demon : les Américaines enragées

On a beau dire que l’économie de carburant est au cœur des achats des consommateurs, tous les petits enfants en nous continuent d’être impressionnés par les monstres de puissance que les constructeurs automobiles sont capables de créer. Les derniers en lice : la Dodge Challenger Demon et e Jeep TrackHawk, une déclinaison vitaminée du Grand Cherokee.

Et c’est au Salon de l’auto de New York, en avril prochain, que le constructeur FCA dévoilera officiellement ces deux véhicules, issus d’une puissance quasi inconnue à ce jour.

Vous avez un doute? Et pourtant… Ainsi, le Dodge Challenger ne se dévoile que petit à petit depuis quelques semaines. On ignore sa fiche technique précise, mais on sait cependant qu’il devrait être plus performant, à défaut d’être plus puissant, que la version Hellcat qui compte sur 707 chevaux.

Entrée d’air surdimensionnée, silhouette aérodynamique, et gros V8 suralimenté par compresseur aura de quoi gaver les tubes d’admissions. Ajoutez-y un gros filtre K&N en plus de deux conduits spéciaux pour alimenter et refroidir l’air d’admission et vous aurez un véritable monstre construit pour la piste autant que pour la route.

Mais Jeep ne voulait pas être en reste, et l’avait promis. C’est aussi au Salon de New York que la marque de véhicule extrême en hors-route présentera sa version plus extrême en chevaux-moteur: le Jeep Grand Cherokee TrackHawk, partageant puissance et raffinement avec le Hellcat et développant lui aussi quelque 707 chevaux.

En fait, c’est exactement la même mécanique qui se retrouvera sous le capot, soit un moteur V8 HEMI surcompressé de 6,2 litres. On ignore cependant quelles dimensions seront données au système de direction et surtout aux suspensions pour rendre le véhicule capable de fréquenter les pistes tout en ne perdant pas sa personnalité Jeep.

Bref, c’est un salon de l’auto de New York tout en puissance que FCA proposera dès la mi-avril.

Voitures vertes de l’année : Kia ou Chevrolet?

Chaque année, l’Association des Journalistes Automobiles du Canada décerne ses prix des voitures de l’année. Mais réalité de consommation oblige, l’AJAC choisit aussi un utilitaire sport et une voiture baptisée du titre de Véhicule vert de l’année.

Cette année, c’est dans le cadre du salon de l’auto de Toronto que l’Association a fait connaître ses finalistes. Ainsi, du côté des multisegments, c’est le Mazda CX-9 qui doit faire face au Toyota RAV-4 hybride et au Subaru Forester.

Le Mazda CX-9 n’est pas sur la liste par hasard. Totalement redessiné, le grand multisegment offre de l’espace pour 7 passagers, un design définitivement plus moderne et une qualité de finition exceptionnelle. Mais c’est sa mécanique 4 cylindres turbocompressé ayant profité du traitement skyActiv qui sera au cœur même du choix des juges. Il faut dire que malgré ses dimensions imposantes, le Mazda CX-9 affiche une très raisonnable consommation de 10,5 litres aux 100 kilomètres en ville, et de 8,3 litres aux 100 km sur route.

Du côté des voitures, la compétition sera toute aussi féroce, et surtout aussi technologique. D’un côté, la berline Kia Optima HEV, un véhicule hybride rechargeable qui, du haut de ses 201 chevaux, réussit tout de même le tour de force de n’afficher une consommation que de 5,5 litres aux 100 kilomètres en version combinée.

De l’autre côté, la Chevrolet Malibu Hybride, une grande berline encore plus puissante, présente une moyenne de consommation de 4,9 litres sur la route, et de 5,2 litres aux 100 kilomètres en ville. Un troisième concurrent, la Toyota Prius avec technologie, est aussi en compétition.

Le grand prix de la Voiture et du multisegment verts de l’année sera décerné en mars prochain, lors du salon de l’auto.

Première mondiale, la Hyundai Accent 2018

Il n’est pas courant que les salons de l’auto, en sol canadien, soient le théâtre de primeur mondiale. C’est pourtant le Salon international de l’auto de Toronto que le constructeur coréen Hyundai a choisi pour dévoiler en grande primeur la toute nouvelle mouture de sa Hyundai Accent, une sous-compacte aux nouvelles dimensions et au nouveau look.

Il faut dire que la nouvelle Accent a subi un changement radical. Tout comme les véhicules les plus récents de la famille, la sous-compacte est désormais assemblée sur la base de la superstructure de Hyundai, une architecture plus rigide et plus légère qui permet une conduite plus dynamique, plus vive, tout en ayant un impact important sur la consommation de carburant.

En matière de dimensions, la petite voiture prend un peu de galon. Elle est plus longue, offrira plus d’espace dans l’habitacle et fournira un espace de chargement de 387 litres pour la berline, tandis que le modèle à hayon, qui fera son entrée plus tard cette année, offrira 616 litres d’espace de chargement.

Sous le capot, la nouvelle Accent offrira un moteur quatre cylindres de 1,6 litre développant 132 chevaux et 119 lb-pi de couple se retrouve sous le capot de l’Accent 2018.  Au choix, le conducteur pourra le jumeler à une boite de vitesse six rapports automatique ou manuelle.

Une caméra de recul sera offerte de série, s’affichant sur un écran tactile de 7 pouces intégrant la connectivité Apple Car Play et Android Auto.  Les sièges chauffants ainsi qu’un système d’avertissement de collision avec freinage automatique seront disponibles en option.

La nouvelle Hyundai Accent sera disponible au Canada avant la fin de l’année. Les prix, ainsi que les différentes versions, seront aussi rendues publiques au moment du lancement. Fait à noter, la version à hayon sera réservée au marché canadien, les États-Unis ayant refusé le modèle.